7 juillet 2016
Arrêt sur image
Ma rencontre avec Nilda m’aura laissé sans voix. Et, subséquemment (je ne sais pas pourquoi mais j’aime beaucoup cet adverbe un peu pompeux), sans mots, sans plume, sans écriture. Submergé par les émotions mon lexique et ma syntaxe (priez pour elle !) m’ont soudain paru minuscules, trop minces, pas en écho avec cette voix unique, cette sensibilité particulière.
Je voulais écrire : « Mon cher Nilda… », une intimité provoquée. J’ai écrit : « Mon cher Nilda… » et je me suis arrêté là.
Blog figé, lecteurs délaissés.
Arrêt sur l’image.
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